🎬 Pourquoi les personnages de films d’horreur prennent toujours les mauvaises décisions ?

Ah, les films d’horreur. Ces joyaux de frissons où des ados décident de séparer le groupe en pleine forêt après avoir entendu un bruit suspect. Clairement, Darwin est en train de pleurer dans sa tombe.

Soyons honnêtes : regarder un film d’horreur, c’est souvent comme crier à la télé pendant un match de foot.
– « Mais ne va pas là, Karen ! Pourquoi tu ouvres cette porte ?! »
Et pourtant, elle y va. Spoiler : elle ne reviendra pas.

Le syndrome de la lampe de poche défectueuse

Depuis quand les piles ne tiennent-elles que deux minutes dans les films ? Dès que la tension monte, la lampe clignote. Résultat : le tueur peut apparaître pile dans l’obscurité. Astuce du jour : partez avec une frontale de randonneur. Ce n’est pas très sexy, mais au moins, vous voyez venir votre fin.

Fuir ? Oui. En montant les escaliers.

Un grand classique. Un serial killer masqué entre dans la maison ? Pas de panique ! Fuyons vers... l'étage. Là où il n’y a aucune sortie. C’est presque une tradition. Un jour, un personnage tentera de s’échapper par la porte d’entrée, et ce sera révolutionnaire.

Les téléphones portables n’ont jamais de réseau

Dans les films d’horreur, les smartphones sont décoratifs. Ils sont là, mais inutiles : pas de signal, batterie à plat, ou mystérieusement lancés dans un buisson juste avant de courir. Note pour plus tard : investissez dans un vieux Nokia. Indestructible, batterie de 12 ans, et probablement capable d’appeler l’au-delà.

Le tueur marche, mais il arrive toujours avant toi

Tu cours, tu cries, tu sautes par la fenêtre, tu traverses la forêt... et le tueur, lui, marche tranquillement. Et pourtant, il est déjà là quand tu arrives. À croire qu’il a un abonnement Uber Slasher ou qu’il connaît des raccourcis interdimensionnels.

En résumé

Les personnages de films d’horreur ont une capacité surnaturelle à faire le pire choix au pire moment. Et c’est pour ça qu’on les aime. Parce qu’au fond, leur bêtise est rassurante : on se dit qu’on ferait mieux. Jusqu’au jour où, seuls chez soi, on entend un bruit dans le grenier…

Et là, évidemment, on monte voir. Parce qu'on a vu trop de films.