Deux fans portent plainte contre Universal pour Bande annonce Mensongère.

Un procès sans précédent car Ana de Armas présente dans la bande annonce n'était pas dans le film.

Deux fans portent plainte contre Universal pour Bande annonce Mensongère.

C'est un procès qui risque de chambouler Hollywood à tout jamais !

Deux spectateurs californiens portent plainte contre Universal Pictures pour publicité mensongère car Ana De Armas présente dans la bande annonce du film de 2019 Yesterday, n'était pas présente dans le film car coupée au montage final du long métrage. Tous deux fans de l'actrice ils ont été déçu de ne pas la retrouver après avoir louer le film alors que la bande annonce laissait penser qu'elle y serait.

Universal a voulu rejeter le procès en contestant qu'une bande annonce n'était pas une vidéo de promotion commercial et ont invoqué le premier amendement qui traite de la liberté d'expression. Les avocats ont défendu qu'il s'agit d'une "œuvre artistique et expressive" qui raconte une histoire de trois minutes véhiculant le thème du film, et doit donc être considérée comme un discours "non commercial".

Ce qu'a rejeté le juge, Stephen Wilson qui a accepté de tenir un procès car selon lui "Universal a raison de dire que les bandes-annonces impliquent une certaine créativité et une certaine discrétion éditoriale, mais cette créativité ne l'emporte pas sur la nature commerciale d'une bande-annonce. À la base, une bande-annonce est une publicité conçue pour vendre un film en offrant aux consommateurs un aperçu du film"

Universal conteste et fait valoir que cela fait des décennies que les bandes-annonces comportent des scènes qui sont ensuite coupées, citant Jurassic Park en exemple. 

"Selon le raisonnement des plaignants, une bande-annonce pourrait potentiellement être soumise à litige, chaque fois qu'un spectateur prétendrait être déçu de savoir si et combien de personnes ou de scènes qu'il a vues dans la bande-annonce sont bien dans le film au bout du compte. Ou juste si le film s'inscrit bien dans le genre auquel ils prétendaient s'attendre etc..."

Les studios ayant peur qu'une multitude de plaintes soient déposées à chaque fois qu'un film ne correspondrait pas aux attentes des spectateurs comme c'est souvent le cas, mais le juge réfute cet argument et estime que la loi sur la publicité mensongère ne s'appliquera que lorsqu'une "partie importante" de "consommateurs raisonnables" pourra être induite en erreur. "La décision de la Cour se limite aux représentations indiquant si une actrice ou une scène est dans le film, et rien d'autre".

 

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